English will follow
Retour sur notre départ en catastrophe
Le 3 février en mi après-midi, on partait de Cienfuegos, et on arrivait à Trinidad. Une promenade dans le village nous montre un endroit dévoué au tourisme, où la vie cubaine est pratiquement nulle. Les rues de pierre défoncées rendent la place sympathique, mais difficilement praticable. M’enfin, c’était joli.
Après 3 heures de marche, on avait tout vu, et refusé plusieurs offres de restaurants et bars partout sur notre passage. Ça et des étalages de souvenirs, c’était tout ce qu’il y avait.
On s’est dit que tant qu’à être ici, on allait magasiner un billet sur internet, ou à un comptoir de ventes....
Devinez quoi...
Comme on n’a jamais été capable d’accéder au réseau internet, ni de s’acheter un billet de vol dans un quelconque comptoir de la ville, on en a vraiment eu ras le pompon. On décide alors de repartir le lendemain, première heure (ben oui, le comptoir de ventes pour le bus était fermé ce soir-là...)
Le 4 février, à 6h30 du matin, on achète notre passage, direction La Havane. Embarquement à 8h (avec du personnel d’autobus qui tente de nous soustraire de l’argent pour du pourboire nullement gagné! Grrr 😖)
Arrivés à La Havane vers les 15h, toujours aussi pompés, on prend le bus local, direction l’aéroport. Pour qq 5 sous canadiens dans un bus surchargé, on a quand même conversé agréablement avec le sympathique chauffeur du bus. Sa gentillesse nous a fait du bien, on en avait besoin.
À notre arrivée devant le comptoir de Interjet, il est 4h58. Ça fermait à 17h. Les vendeuses au comptoir ont accepté de nous servir. Alléluia! On voulait partir! Et on a pris le 1er vol disponible. Tant pis pour le coût.
A 20h, on s’envolait vers Cancun. Déjà on respirait mieux.
Rendus à Cancún, le bus pour Playa del Carmen était sur le point de partir. Il nous a attendu.
Depuis notre décision de s’enfuir, à force d’écœurement, tout s’est enchaîné comme par magie. Dieu et la vie étaient d’accord avec nous.
Adios Cuba ... tu ne nous reverras plus jamais.
P.S. de tous les pays qu’on a visité, et Dieu sait qu’on en a fait quelques uns, c’est celui qu’on a le plus détesté. Ça a dépassé notre expérience de l’Égypte, et c’est pas peu dire !
Back on our disaster departure
In the afternoon of February 3, we left Cienfuegos, and we arrived in Trinidad. A walk in the village shows us a place devoted to tourism, where Cuban life is practically nil. The broken stone streets make the place nice, but difficult to walk. But, it was pretty.
After 3 hours of walking, we had seen everything, and refused several offers of restaurants and bars everywhere in our path. That and displays of memories, that was all.
We thought that while we were here, we might shop for a ticket on the internet, or at a sales counter ....
Guess what...
Since we have never been able to access the Internet, or buy a flight ticket at any counter in the city, we were really fed up. We then decided to leave the next day, the first hour (well yes, the sales counter for the bus was closed that evening ...)
On February 4, at 6:30 am, we bought our passage, direction LaHavana. Boarding at 8 a.m. (with bus staff trying to steal money from us for tips not earned! Grrr 😖)
Arriving in LaHavana around 3 p.m., still pumped, we took the local bus, direction the airport. For qq 5 Canadian pennies in an overloaded bus, we still conversed pleasantly with the friendly driver of the bus. Her kindness comforted us, we needed it.
When we arrived at the Interjet counter, it was 4:58 am. It closed at 5 p.m. The counter salespeople agreed to serve us. Alleluia! We wanted to leave! And we took the 1st available flight. Too bad for the cost.
At 8 p.m., we flew to Cancun (Mexico). We were already breathing better.
Back in Cancún, the bus to Playa del Carmen was about to leave. He waited for us.
Since our decision to flee, with disgust, everything has happened like magic. God and life agreed with us.
Adios Cuba ... you will never see us again.
P.S. of all the countries we have visited, and God knows that we have made a few, this is the one we hated the most. It went beyond our experience in Egypt, and that is saying something!
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MF et Luc