samedi 29 février 2020

Perdu

As usuel, English will follow

Cette fois, je l’ai bel et bien perdu. Lui qui m’était tellement utile, spécialement ici au Mexique. Lui qui me suivait partout ou presque, où j’allais; lui qui ne me quittait presque jamais. Pourtant je croyais l’avoir bien protégé, couvert de mes soins, souvent trop protecteurs sans doute, et pourtant pas encore assez, la preuve... Je l’ai perdu!

Il y en a qui le botte au pied, tel le clown qui s’amuse à le faire avancer plus vite que lui; il y en a qui le dépose sur leurs genoux, comme cette timide nymphette qui arrive d’un autre temps; d’autres le gardent dans les mains, comme un objet qu’on ne cherche qu’à déposer mais qu’on ne sait pas sur quel meuble; et d’autres, beaucoup plus nombreux, le négligent, le méprisent, l’ignorent. 

Si seulement les gens savaient son importance; si seulement les gens se rendaient compte de ses qualités, si seulement les gens n’étaient pas aveuglés... 
car ils le sont sûrement sans lui. Moi je ne l’étais pas, car moi, je le déposais sur ma tête! 

Aujourd’hui je suis triste, car de ma balade à Chetumal au début de la semaine, j’ai perdu...  mon chapeau préféré.
Me faudra maintenant le remplacer. 


This time I did lose it.  He was so helpful to me, especially here in Mexico.  Who followed me almost everywhere, wherever I went; who almost never left me.  Yet I thought I had protected him well, covered with my care, probably too protective, and yet not enough, the proof ... I lost it!

 There are some who kick it, like the clown who likes to make him move faster than him;  there are some who place it on their knees, like this shy nymphet who arrives from another time;  others keep it in their hands, like an object that one only seeks to deposit but does not know on which piece of furniture;  and many, many more, neglect it, despise it, ignore it.

 If only people knew its importance;  if only people realized its qualities, if only people were not blinded ...
 because they surely are without him. I was not like them because me, I was used to put it on my head. 

 Today I’m sad because of my trip to Chetumal earlier this week, I lost ... my favorite hat.

 I will now have to replace it.

mardi 25 février 2020

Bacalar & Chetumal

Je ne veux pas faire baver, mais Luc et moi se la coulons vraiment douce. Le stress est une denrée non nécessaire dans notre vie. Mais on aime bien aussi parfois les petits challenges. 
Ainsi ce lundi matin, avant le lever du coq (qui disons-nous-le franchement, ne se couche jamais), nous partons en courte expédition. Pas d’ordinateur pour Luc, pas de tablette pour moi, pas non plus de sac à dos, à peine un « baise-en-ville » incluant nos maillots, une brosse à dents et mon cellulaire (un très pratique gps gracieuseté de Google Maps). On prend le bus en direction de Bacalar, 4h de bus au sud de Playa del Carmen. Rien de décidé, rien de réservé, tout à l’aventure, on sait qu’on ne part pas longtemps, mais on ne sait quand même pas quand on rentrera. 
Sur le bord du lac Bacalar
On the shore of the lake Bacalar

Débarqués dans la petite ville, on se dirige à pied vers la lagune, lieu où convergent tous les touristes du coin. Quelle beauté que de voir les couleurs de ce lac. 
Le lac Bacalar est un lac long et étroit dans l'État de Quintana Roo, au Mexique. Elle mesure environ 42 km de long du nord au sud et moins de 2 km de large (au maximum). Le lac est réputé pour sa couleur bleue saisissante et sa clarté de l'eau, en partie le résultat d'un fond de calcaire blanc. Wikipédia 
Un repas (dont un bon ceviche aux crevettes) avec vue sur la lagune, agrémenté d’une bonne bière, puis on ose une petite baignade qui nous enchante. 

Sur le bord du lac Bacalar
On the shore of the lake Bacalar

Après s’être séché relativement, on part à pied pour voir les cenotes un peu plus au sud. 
Les cénotes sont des gouffres d'effondrement, totalement ou partiellement remplis d'eau. Il peut s'agir d'eau douce, ou parfois d'une couche superficielle d'eau douce et d'une couche inférieure d'eau de mer s'ils communiquent avec l'océan par des failles ou autres conduits. 
Lorsqu'ils sont entièrement immergés dans l'eau de mer, on les désigne comme « trous bleus » (par exemple dans la péninsule du Yucatán au Mexique).
Les cenotes se trouvent finalement aux abords de la lagune. De ceux qu’on a vu, on y voit peu de différences d’avec la lagune comme tel, mais la vue est toujours aussi splendide. 

Une fois satisfaits, on décide littéralement de se faire prendre par un taxi (pour une bouchée de pain) sur le bord de la route. Cette fois, on poursuit notre route vers la ville voisine, à +/- 35 km de Bacalar. Chetumal est une assez grande ville à l’extrémité sud du Mexique. La ville en bordure de la mer, est aussi située aux abords de la frontière d’avec le Belize. Plutôt jolie et propre, elle souffrait de la popularité du carnaval qui devait passer le soir même. Je dis « souffrir » parce que la ville étant sans doute dans ses préparatifs, elle se trouvait du fait même déserte ! 
Par contre au défilé, la ville était bien là. Fiou ! 

Sur le bord du lac Bacalar
On the shore of the lake Bacalar
Une fois la fête passée, Luc et moi avons les pieds en feu du « marchement » de la journée. On est contents d’avoir vu ce qu’on voulait voir, et on décide ... de rentrer ! 
Presque 6h de bus plus tard, à moitié endormis sur les bancs du bus, il est 3h du matin quand on rentre à Playa del Carmen. Il y a eu grasse matinée ce matin !

I don't want to drool, but Luc and I are having a really sweet time.  Stress is an unnecessary commodity in our lives.  But we also like small challenges sometimes.
 So this Monday morning, before the rooster rises (which we say frankly, never goes to bed), we leave on a short expedition.  No computer for Luc, no tablet for me, no backpack either, barely a "city pack" including our swimsuits, a toothbrush and my cell phone (a very practical gps courtesy of Google  Maps).  We take the bus towards Bacalar, 4 hours by bus south of Playa del Carmen.  Nothing decided, nothing reserved, all adventure. We know we don't leave long, but we still don't know when we will return.

CHETUMAL
Aqui inicia México 
Ici commence le Mexique
Here begins Méxic
 Landed in the small town, we walk to the lagoon, a place where all the tourists converge.  What a beauty to see the colors of this lake.
 Bacalar Lake is a long, narrow lake in Quintana Roo State, Mexico.  It is approximately 42 km long from north to south and less than 2 km wide (maximum).  The lake is renowned for its striking blue color and its clarity of water, partly the result of a white limestone background.  Wikipedia
 A meal (including a good shrimp ceviche) with a view of the lagoon, accompanied by a good beer, then we dare a little swim which delights us.

CHETUMAL
Aqui inicia México 
Ici commence le Mexique
Here begins México 
 After being relatively dry, we leave on foot to see the cenotes a little further south.
 Cenotes are sinkholes, totally or partially filled with water.  It can be fresh water, or sometimes a surface layer of fresh water and a lower layer of sea water if they communicate with the ocean through faults or other conduits. When fully submerged in seawater, they are referred to as "blue holes" (for example in the Yucatán peninsula in Mexico).

Au carnaval de Chetumal
The cenotes are finally found near the lagoon.  From those we have seen, we see little difference from the lagoon as such, but the view is still as splendid.

Once satisfied, we literally decide to get caught by a taxi (for almost nothing) on the side of the road.  This time, we continue our road to the neighboring town, +/- 35 km from Bacalar.  Chetumal is a fairly large city at the southern end of Mexico.  The city by the sea is also located on the border with Belize.  Rather pretty and clean, she suffered from the popularity of the carnival which was to take place the same evening.  I say "suffer" because the city being undoubtedly in its preparations, it was by the same fact deserted!
 By cons parade, the city was there.  Youppi !

Once the party was over, Luc and I were on fire for the day's "walk".  We are happy to have seen what we wanted to see, and we decide ... to go back!

Notre kilométrage à marcher en ce beau lundi 
Our walking in this Monday  
 Almost 6 hours by bus later, half asleep on the bus benches, it is 3 am when we return to Playa del Carmen.  This morning was a lazy one !



Marie France 

Magie - Magic

Quel joie, quel bonheur que de me sentir chez-moi, même lorsque je suis à des lieues, que dis-je, à des latitudes de mon domicile principal. Je suis d’une grande adaptation, presque partout où je vais, j’ai la capacité de m’organiser pour y être bien, qu’importe le lieu. 
Mais la meilleure façon, c’est quand je mets ma touche personnelle à l’environnement. Et pour ce faire, j’ai besoin de faire un peu de magie: un contenant, un peu de poudre de ci, un bout de cela, de l’eau bénite... quelques tours de chapeau...  et ma touche finale. 
Et le résultat ma foi est assez satisfaisant! 

Je vous donne ma formule: dans un récipient recyclé et troué à la base; un peu de terre, un tout petit bout de plante (trouvée dans une plate-bande municipale en fouillis - c’est à dire en besoin d’un bon service d’entretien en horticulture), et un bon arrosage. Et voilà ! Dans qq jours, déjà la plante s’épanouira dans son - mon - nouveau chez-moi ! 
Boutures glanées dans des plate-bandes en fouillis -
Cuttings gleaned from jumble beds

What a joy to feel at home, even when I am far away, what do I say, at latitudes from my main home.  I am very adaptable, almost everywhere I go, I have the capacity to organize myself to be well, no matter the place.
 But the best way is when I put my personal touch on that environment.  And to do this, I need to do a little magic: a container, a little powder of this, a piece of it, holy water ... a few hat tricks ... and my final touch.
 And the result my faith is quite satisfactory!


 I give you my formula: in a recycled container with holes at the bottom;  a bit of soil, a tiny bit of plant (found in a clutter of municipal beds - that is, in need of good horticultural maintenance), and good watering.  And There you go !  In a few days, the plant will already flourish in its - my - new home!

Marie France 💐

mercredi 19 février 2020

Vilain virus

Nous sommes en février, il fait beau et chaud au Mexique. 
Une torpeur me retient assise sur mon fauteuil préféré du studio... une chance que je l’aime, c’est le seul. La climatisation a beau fonctionner, les quelques rares bouffées de chaleur et la large porte patio (qui laisse entrer des rayons par la vitre) apporte un climat tempéré dans la pièce. 
Ainsi tout va bien, compte tenu des circonstances. 
C’est que finalement tout ne va pas aussi bien que je cherche à vous convaincre. Je suis plutôt terrassé par un ignoble virus. Ce genre de virus qui cloue au lit n’importe quel homme fort et bien constitué. Mon nez coule de façon aussi continue que le robinet d’une chantepleure qu’on a laissé à demi ouverte. Et cet appendice est aussi rouge que si j’avais passé une journée entière à me faire bronzer sur la plage, en protégeant tout mon corps sauf le nez. J’éternue à tout moment, et la gorge me gratte aussi un peu. Bref, j’ai un vilain rhume.
Mais comme je suis une femme, c’est connu qu’on est toujours plus forte que nos alter égo masculins, tout va aussi très bien ! J’espère juste ne pas contaminer mon amoureux...

Je prendrai ça mollo, et le vilain virus finira par passer, comme d’hab, et je ferai ma journée normale, comme d’hab ! Pas de panique, on connaît les nouvelles de l’Asie concernant le coronavirus... ici rien de tel. Promis juré, je vais me soigner. 

Bonne journée ! 

We are in February, in a hot and sunny day in Mexico.
  A torpor keeps me sitting on my favorite studio armchair ... lucky that I like it, it's the only one. The air conditioning works fine, the few rare hot flushes and the large patio door (which lets in rays through the glass) brings a temperate climate in the room.
  So all is well, given the circumstances.
  In the end, everything is not going as well as I am trying to convince you. I am rather struck down by a vile virus.  This kind of virus that bedrows any strong, well-formed man.  My nose runs as continuous as the tap of a weeping plant that we left half open. My appendage is as red as if I had spent a whole day sunbathing on the beach, protecting all my body except the nose.  I sneeze at any time, and my throat is also scratching a bit; in short, I have a bad cold.
  But as I am a woman, it is known that we are always stronger than our male alter ego, everything is also fine!  I just hope not to contaminate my lover ...

  I'll take it easy, and the nasty virus will eventually pass, as usual, and I will do my normal day, as usual!  Do not panic, we know the news from Asia concerning the coronavirus ... here nothing like it.  I swear, I'll take care of myself.

  Have a good day!

Marie France 


mercredi 12 février 2020

Playa del Carmen

Playa del Carmen 

English will follow

Débarqués depuis qq jours au Mexique, la vie normale a finalement repris son cours. 
On a recommencé à manger, « bien manger » je veux dire. Avec des fruits et légumes frais, et du pain brun, et du lait et des œufs, etc ! 
On a loué un grand studio avec un coin cuisinette à 500 mètres de la plage, pour pas cher. 
Dès le 1er jour, on a fait une razzia à l’un des supermarchés du coin (tous bondés de produits, fiers symboles de notre société capitaliste de consommateurs, exactement comme on les connaît et comme on les aime au Québec), et on s’est remis à se nourrir décemment. 

Y a pas a dire, Cuba aura été difficile pour nous ! 

On vient donc d’arriver à Playa del Carmen depuis quelques jours, et on s’y reposera pour le reste de l’hiver. Luc a bien l’intention de continuer à s’entraîner, et j’ai encore quelques livres... à lire ;)

De retour au Québec pas avant le 1er avril ! 

On vous embrasse tous bien fort

Landed a few days ago in Mexico, normal life has finally resumed its course.
 We started eating again, "eating well" I mean.  With fresh fruits and vegetables, and brown bread, and milk and eggs, etc!
 We rented a large studio with a kitchenette 500 meters from the beach, for a low price.
 From day 1, we raided one of the local supermarkets (all packed with products, proud symbols of our capitalist consumer society, exactly as we know and like them in Quebec), and we restarted to eating decently.

 There is nothing else to say, Cuba will have been difficult for us !

 We have just arrived in Playa del Carmen a few days ago, and we will rest there for the rest of the winter.  Luc intends to continue training, and I still have a few books to read ;)

 Back in Quebec ... not before April 1!

 We kiss you all

Marie France et Luc  xx 

jeudi 6 février 2020

¡ Adios !

English will follow
Retour sur notre départ en catastrophe
Le 3 février en mi après-midi, on partait de Cienfuegos, et on arrivait à Trinidad. Une promenade dans le village nous montre un endroit dévoué au tourisme, où la vie cubaine est pratiquement nulle. Les rues de pierre défoncées rendent la place sympathique, mais difficilement praticable. M’enfin, c’était joli. 
Après 3 heures de marche, on avait tout vu, et refusé plusieurs offres de restaurants et bars partout sur notre passage. Ça et des étalages de souvenirs, c’était tout ce qu’il y avait. 
On s’est dit que tant qu’à être ici, on allait magasiner un billet sur internet, ou à un comptoir de ventes.... 
Devinez quoi... 
Comme on n’a jamais été capable d’accéder au réseau internet, ni de s’acheter un billet de vol dans un quelconque comptoir de la ville, on en a vraiment eu ras le pompon. On décide alors de repartir le lendemain, première heure (ben oui, le comptoir de ventes pour le bus était fermé ce soir-là...)
Le 4 février, à 6h30 du matin, on achète notre passage, direction La Havane. Embarquement à 8h (avec du personnel d’autobus qui tente de nous soustraire de l’argent pour du pourboire nullement gagné! Grrr 😖)
Arrivés à La Havane vers les 15h, toujours aussi pompés, on prend le bus local, direction l’aéroport. Pour qq 5 sous canadiens dans un bus surchargé, on a quand même conversé agréablement avec le sympathique chauffeur du bus. Sa gentillesse nous a fait du bien, on en avait besoin. 
À notre arrivée devant le comptoir de Interjet, il est 4h58. Ça fermait à 17h. Les vendeuses au comptoir ont accepté de nous servir. Alléluia! On voulait partir! Et on a pris le 1er vol disponible. Tant pis pour le coût.
A 20h, on s’envolait vers Cancun. Déjà on respirait mieux. 
Rendus à Cancún, le bus pour Playa del Carmen était sur le point de partir. Il nous a attendu. 

Depuis notre décision de s’enfuir, à force d’écœurement, tout s’est enchaîné comme par magie. Dieu et la vie étaient d’accord avec nous.
Adios Cuba ... tu ne nous reverras plus jamais.

P.S. de tous les pays qu’on a visité, et Dieu sait qu’on en a fait quelques uns, c’est celui qu’on a le plus détesté. Ça a dépassé notre expérience de l’Égypte, et c’est pas peu dire ! 


Back on our disaster departure
 In the afternoon of February 3, we left Cienfuegos, and we arrived in Trinidad.  A walk in the village shows us a place devoted to tourism, where Cuban life is practically nil.  The broken stone streets make the place nice, but difficult to walk.  But, it was pretty.
 After 3 hours of walking, we had seen everything, and refused several offers of restaurants and bars everywhere in our path.  That and displays of memories, that was all.
 We thought that while we were here, we might shop for a ticket on the internet, or at a sales counter ....
 Guess what...
 Since we have never been able to access the Internet, or buy a flight ticket at any counter in the city, we were really fed up.  We then decided to leave the next day, the first hour (well yes, the sales counter for the bus was closed that evening ...)
 On February 4, at 6:30 am, we bought our passage, direction LaHavana.  Boarding at 8 a.m. (with bus staff trying to steal money from us for tips not earned! Grrr 😖)
 Arriving in LaHavana around 3 p.m., still pumped, we took the local bus, direction the airport.  For qq 5 Canadian pennies in an overloaded bus, we still conversed pleasantly with the friendly driver of the bus.  Her kindness comforted us, we needed it.
 When we arrived at the Interjet counter, it was 4:58 am.  It closed at 5 p.m.  The counter salespeople agreed to serve us.  Alleluia!  We wanted to leave!  And we took the 1st available flight.  Too bad for the cost.
 At 8 p.m., we flew to Cancun (Mexico).  We were already breathing better.
 Back in Cancún, the bus to Playa del Carmen was about to leave.  He waited for us.

 Since our decision to flee, with disgust, everything has happened like magic.  God and life agreed with us.
 Adios Cuba ... you will never see us again.

 P.S. of all the countries we have visited, and God knows that we have made a few, this is the one we hated the most.  It went beyond our experience in Egypt, and that is saying something!

mardi 4 février 2020

Cienfuegos et cie

Jolie ville située dans une grande baie. Une belle jeunesse flâne sur le trottoir du bord de l’eau. L’architecture du centre historique est très bien, sans être trop endommagée par les années et la révolution. 

Mais Plusieurs (trop de) rabatteurs de casas et de restaurants, qui voudraient bien surtout, avoir une propina (pourboire);
Une carte (menu) pour attirer le client à la porte du restaurant, une autre carte à l’intérieur pour le fourrer (là où les prix sont près du double);
Presque toujours les mêmes produits souvenirs à acheter;
Des enfants et des adultes qui, sur notre passage, demandent de l’argent (contre rien);
Un comptoir famélique pour acheter des billets de bus (1 seul homme pour tous les trajets possibles - et deux queues a faire ... 1 première pour acheter le billet (hier), et rebelote aujourd’hui pour confirmer le billet !!);
Qu’un comptoir pour acheter des billets d’avion. Après une heure à faire la queue, vous y êtes encore;
Des cubains pas aussi agréables que la réputation le prétend ...

On est fatigués de Cuba.
On part pour Trinidad. Ça risque d’être notre dernière ville de ce... pays. À suivre

P.S. Le temps d’aller à Trinidad; 
la visiter :
  • jolie petite ville nichée près de montagnes
  • les rues sont de pierres et de nids de poules géants - et probablement jamais été restaurées depuis sa création
  • que des restaurants d’occidentaux, des bars, une église... et c’est tout. 3 heures après, on a tout vu;
  • ne pas pouvoir accéder à un wifi qui a de l’allure... 
Nous voici de retour à La Havane. On attend d’acheter notre vol pour fuir ce pays de m... ! 

Pretty little city in a large bay. Beautiful and quiet youth strolling close of the boardwalk. Nice aArchitecture of the old city without too much damage caused by the years and the revolution. 

But, too many representatives of private houses and restaurants. In fact, they just want any tip;
A menu to attract clients at the door of restaurants, and another menu once you are in (where the prices are almost the double);
Almost always the same products at the numerous kiosks;
Kids and adults asking for money (in exchange of nothing);
A poor office to buy a bus ticket (only 1 man for all the job - and 2 queues: first yesterday to buy the ticket, another today to confirm it !!);
Only 1 office to buy plane ticket... make the queue. An hour after, you are still waiting;
Cubans are not as friendly as the reputation says...

We are tired of Cuba. 
We are leaving for Trinidad. It might be the last city we visit in that... country. To be continued


P.S. time to go to Trinidad, and visit it:

  • Pretty city in the mountains
  • Roads of rocks were never restaured... big pot holes
  • Restaurants for westerners, bars and a church... and that’s ti. After 3 hours, you have seen everything
  • No ways to access a good wifi... 
We are back to La Havane. We are now waiting for a flight ticket to leave this country of s... !