dimanche 12 mars 2017

Ni les jeunes, ni les vieux; 
ni les femmes,  ni les hommes; 
ni ceux en riche bagnole,  ni ceux en tacot. 
Même la plupart de ceux qui se trouvent derrière un comptoir. 
Non personne. 
Peut-être est-ce parce qu'on est dimanche, ou que c'est un jour gris et nuageux; 
ou peut-être parce que je ne les inspire tout simplement pas... 
Non, ici à Sofia, personne ne sourit. En fait, personne même ne te regarde, ou si peu.
J'oublie. Oui, il y en a bien eu... un ou deux. Et encore, timidement.
Ils tendaient la main, quêtant une pièce ou un morceau de pain. 

Ici à Sofia, Bulgarie, Tu es comme invisible. 

La Turquie me manque déjà.


Neither the young nor the old;
Neither women nor men;
Neither those in a rich car, nor those in a wreck.
Even most of those behind a counter.
No one.

Perhaps it is because it is Sunday, or because it is a gray and cloudy day;
Or maybe because I simply do not inspire them ...

No, here in Sofia, no one smiles. In fact, no one even looks at you, or so little.
I forget. Yes, there were - one or two. And again, timidly.
They stretched out their hands, hunting for some money or a piece of bread.

Here in Sofia, Bulgaria, You are like invisible.

I already miss Turkey.


Marie France 



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MF et Luc