vendredi 28 mars 2014

Antigua la superbe

Antigua, vieille capitale du pays, aujourd'hui très fréquentée par les touristes.
Mise à part la procession, voici quelques autres photos
 
Rue en périphérie de la ville.
Ici, toutes les rues sont pavées de pierres (comme probablement dans toutes les villes du Guatémala à ce qu'on peut voir). Ça donne un superbe cachet, mais ça ne va pas très bien pour y courir. Coudonc, on peut pas tout avoir ;)
 
Sur un promontoire du coté nord. On y voit très bien la ville, et son volcan de l'autre coté.
Et à la base de la croix, des vendeuses de souvenirs, CLARO ! (C'est sur ;)
 
Sur une rue de Antigua Guatemala (Guatemala l'antique), une adolescente célébrait sa graduation.
En arrière plan, sous l'arche de je ne sais pas quel est ce batiment, on voit l'église La Merced
 
La même rue, vue de l'autre coté. Vous voyez le volcan au loin ?
Cette ville aux rues pavées me rappelle un peu pas mal Léon du Nicaragua, mais en plus joli encore. Les touristes l'ont par contre assailli, et comme la ville s'est donné à eux (les touristes comme on le sait, ont plein d'argent) il faut chercher un peu plus loin pour trouver les endroits où consomment les locaux (et les touristes pauvres) Pas grave, ça nous fait visiter la ville ;)
 
Toujours sur cette même rue de l'église de La Merced, il avait aussi des artistes (ben oui comme dans le Vieux-Mtl ou le Vieux-Québec) qui vendaient leurs oeuvres.
Et j'y ai trouvé du chocolaaaat ! Du chocolat artisanal délicieux, à saveur de café, cardamone, cashews, chili, etc. MENOUMMM :p
 
Ahhh, parlant d'elle, voici l'Église de La Merced. On y célébrait un gros mariage ce jour-là

Ah, sont pas tous pauvres les guatémaltèques ! Cette voiture des années 19-cent-tranquilles, avec chauffeur bien sûr, a dû coûter une grosse beurrée ...
(le chauffeur me l'a confirmé: Si, mucho dinero !)
 
Vendeur de rue de barbe à papa. Un classique, partout dans le monde
 
Et autre vendeur de rue... de classique... Du bon popcorn au beurre !  Ça goûte pareil comme dans nos cinémas ;)
Ces vendeurs de rue se sont multipliés pendant la fin de semaine. Mis à part ces vendeurs-là, on y trouvait quasiment de tout sur les trottoirs et dans les différents parcs de la ville... enfin de la bouffe centrale-américaine bien sur: arachides et noix diverses, bonbons, mais aussi des repas consistants où la tortilla et les frijoles (haricots noirs ou rouges) avait presque toujours la place. Et aussi des pupusas, des tamales, des tortillas, du poulet frit, des empenadas, etc ! Et des fruits frais aussi: jocotes, mangues, melon d'eau, cantaloup, papaye, fraises, oranges et ananas avaient le haut du pavé. Zont fait des affaires d'or surement avec les pèlerins venus à la procession !
 
Alors c'est tout pour l'incursion à Antigua.
Je vous le dis, c'est une ville à voir avec ses bâtiments à architecture coloniale entre autre.
Et ce qui ne gâche rien, pour ceux qui ont de la difficulté avec les grosses chaleurs, la température est beaucoup plus tolérable ici. Sans doute pcq on est plus en altitude (d'ailleurs de là où je vous écris, à Panajachel à 10h du matin, à l'ombre, j'ai besoin de bons bas de laine ;)


Je vous embrasse, encore
MF xx

 
 


 
 
 








 
 

jeudi 27 mars 2014

Procession religieuse à Antigua

Après Guatemala City (la capitale),
plutôt que de prendre les navettes de touristes et dépenser 20$/personne, nous avons décidé de prendre le bus 'InterUrbano' pour Antigua.
 
La photo montre un bus comme celui qu'on a emprunté.
Bien sûr notre gouvernement canadien nous déconseille vivement de le prendre pcq les mesures de sécurité n'y sont pas les mêmes qu'au Québec... mais on est pas au Canada, et on aime l'aventure (et sauver de l'argent ;) !
Seuls blancs sur le bus, à 3 sur chaque siège, pour peut-être 5$ en tout (pour les deux), et après environ 3h de route montagneuse, nous voici à Guatemala la Antigua (l'ancienne capitale).





 
 
Arrivés un vendredi soir, nous tombions dans le week-end débutant les activités du carème (et  comme toute autre fête religieuse en Amérique Centrale, c'est très célébré). Alors 1ère procession le samedi soir, celle des enfants, puis dimanche, celle des adultes. Voici un peu ce que ça ressemblait.

Au tout début de la procession religieuse, marchait un groupe de femmes endeuillées, puis des hommes. Tous vêtus de noir, robes noires avec mantilles et gants, ou complets cravate.
Puis arrivent les gladiateurs romains


Suivent les garçons qui promenent le Christ
 
Les fillettes avaient la charge de la Vierge, en 4e lieu

Et enfin suivaient la fanfare (tambours, clarinette, trompette, et quoi encore)

Le pattern est le même avec les adultes, mais en plus élaboré et en beaucoup plus long.
Alors que le défilé des enfants partait de la cathédrale pour y revenir environ une heure plus tard, la procession du lendemain avec les adultes partait du village voisin (environ 3 km) et débutait à 10h du matin. Tout ce beau monde célébrait le début du carème, où le Christ condamné à mourir sur la croix, est paradé partout dans la ville. Le retour à leur lieu de départ était prévu vers les 22h. Les gens se relayaient tout le long du parcours, un peu comme une course à relais
 
Une partie de la procession.
Des femmes et hommes endeuillés, puis les gladiateurs. Suivent des hommes en tuniques mauves ou blanches représentant sans doute le peuple venu assister à la condamnation du Christ.
Le tapis de fleurs et verdures (beaucoup d'aiguilles de pin) est installé juste avant la procession. C'est une offrande présentée par les résidents qui vivent souvent juste en face de l'endroit où passe la procession. 
Parait que la procession du vendredi saint est largement plus élaborée, et les tapis se construisent la veille. Ils seraient aussi beaucoup plus grands et encore plus beaux. Si le pélerinage vous intéresse, parait que c'est vraiment à voir, mais prenez-vous de bonne heure, les hotels sont pleins et chargent le double pour les nuitées

Tapis de rue pour la procession
 

Impressionnant de voir le haut niveau de participation des locaux, la grande majorité des hommes vêtus de cette tunique toute la journée, même quand ils ne sont plus de la procession

Voici la plateforme du Christ, soulevée par la foi... et les bras des chrétiens.
La veille, c'était la même que les enfants soulevaient!


Voici le Christ en 3/4 de parcours (vers les 19h) devant la Cathédrale
(en passant, c'est ici qu'un malfrat a tailladé mon sac)
Des fidèles accompagnent la procession.
Voyez les habits des femmes. Ainsi se vêtent-elles au Guatémala. Magnifique !

2e chariot (sans roues il me semble bien) de procession, cette fois supportant la vierge Marie (je crois). Ici, ce sont des femmes qui le soulèvent et le font avancer, aussi pendant les 12h de la procession

Une autre guatémaltèque dans ses habits de tous les jours.
 Le camion blanc faisait partie du défilé religieux. Des travailleurs balayaient tout à la suite de la procession: tapis de fleurs tout aplati, et tout autre détritus sur la chaussée. 15 minutes après le passage des pèlerins, plus rien n'y parait et la rue est rendue aux véhicules. Comme efficacité, nos cols blancs et bleus québécois peuvent en apprendre !

Alors voici notre expérience religieuse à Antigua. J'aurais bien eu d'autres images, mais je crois que vous avez saisi l'idée.
 

Je vous embrasse.
Et comme ils disent très souvent ici, que Dieu vous bénisse !

MF xx

mercredi 26 mars 2014

Guatemala City

Guatemala City, ville dangereuse où les pauvres, voleurs, méchants et narco-trafiquants pullulent... haahahah, je niaise. Oui il y a surement, mais on n'en a pas rencontré (sauf notre 'Julio' bien sur). Merci mon Dieu ;)
Non, on a surtout trouvé une très grande ville (environ 1 million d'habitants) très moderne et riche d'architecture coloniale espagnole, surtout dans son centre "antiguo". Magnifiques bâtiments que malheureusement je n'ai pas photographié comme vous savez. Si un jour vous passez par là, ne dédaignez pas votre plaisir, et osez aller visiter, quitte à utiliser les services d'un "tours operator". Ça vaut le coup d'oeil.
Nous on a logé dans un petit hôtel tout près d'une rue piétonnière qui nous amène d'un bout à l'autre du vieux quartier. Et tout près, il y a le bus "intra-urbano" super bien où pour 1 quetzal (15¢) vous pouvez faire un bon tour de ville confortable. De jour, sans sac ni camera pour attirer l'attention, vous aurez une belle journée. Et si vous êtes chanceux, vous rencontrerez qq autres "hurluberlus voyageurs comme nous" ;)

Terminal de bus semblable à plein d'autres (celui -ci est d'Antigua).
Les bus sont appelés ici "chicken bus" pcq on peut y voir de tout. Mais honnêtement, on n'a rien à redire des bus. Ils sont très efficaces, rapides (peut-être parfois un peu trop :/), et très économiques. Faut juste pas être claustrophobes et ne pas détester les rapprochements humains pcq on peut être pas mal tassés des fois (quoique c'est pas pire que d'être dans un métro par heure de pointe! :)
 
Ici on voit des jeunes très allumés de la ville d' Antigua. Partout où on est passés, les gens se montrent très aimables, et très heureux quand on les salue ou leur parle. J'avais déjà lu que les gringos n'étaient pas tous bienvenus, mais un, on n'est pas des gringos, et deux, on n'a peut-être pas la même attitude que d'autres... Va savoir!

 Ma grande poche centrale, cachette secrète de tout ce qui est VRAIMENT important... passeport, chèques de voyage, cartes de crédit... et $ cash ;) Ben oui, faut ben en traîner un peu. 
Quetzal, oiseau du pays, ayant aussi donné son nom à la monnaie du Guatemala. Je me souhaite d'en voir un, un jour! Mais comme c'est le cas pour tous les emblèmes nationaux, vous en voyez souvent des nôtres (du Canada - original, castor, ours polaire... ?!)
Luc en plein travail dans notre petit hôtel à Guatemala city. Avec nos arrêts fréquents, il a peu de temps pour se concentrer à l'ouvrage.
 
Gallo, bière nationale du Guatemala. Pourquoi un coq fait office d'emblème? Faudrait que je cherche... Ah la retraite prend tout mon temps ;)
 
Bain d'oiseau dans le jardn intérieur de notre hôtel à Guatemala city
 
Poissons à vendre, aucune idée combien elle vendait ça!
 
Lecture de la Prensa, journal du pays. Faut bien se tenir au courant ;)

Alors c'est ça qu'on va faire !
Ciao amigos, on revient avec des photos de Antigua (la vieille capitale)
MF xx ;)

lundi 24 mars 2014

Sécurité au Honduras et Guatemala


Selon les statistciens, le Honduras a le taux d’homicides le plus élevé de toute l’Amérique centrale... (crimes violents dont meurtres, assauts) où, Dieu merci, rien ne nous est arrivé. Beaucoup de mises en garde, des gardes armés à presque toutes les portes, mais finalement plus de peur que de mal. On nous met en garde, et en respectant les consignes, tout s'est super bien passé.

Depuis qq jours, on est passés au Guatemala. Mêmes niveaux de dangerosité par rapport à la sécurité. Mais cette fois, les consignes varient. Sur internet ça va de tous les côtés, allant du "Attention" à "Faut pas capoter"... Au comptoir touristique de Guatemala City, la dame très gentille et généreuse en infos, nous dit que "c'est pas pire que dans d'autres pays ou villes du monde" (remarquez, elle n'a pas avantage à nous effrayer ;)

Comme on est un peu entêtés, on a décidé de se faire notre opinion sur Guatemala City. 2 nuits, tout s'est bien passé. Pour nous simplifier la vie et ne pas avoir à être hyper vigilants, on se promenait les mains vides sauf notre bouteille d'eau, qu'un peu d'argent pour la journée, et sans sac ni appareil photo. Très bonne idée.
Reste un petit incident, très mineur, mais qui vaut la peine d'être raconté par Luc:
Voici tout de même un fait cocasse (tout récent et très révélateur) qui nous est arrivé...  
A Guatémala City (la capitale du Guatémala), un Guatémaltèque d'une quarantaine d'années (appelons-le Julio), se disant professeur dans un village éloigné de la capitale, est venu nous faire la jasette pendant qu'on se baladait sur un trottoir. On parle de voyages, du Canada, du Guatémala. Julio nous dit venir en ville pour des traitements dentaires beaucoup moins chers qu'en campagne. Tout se passe normalement jusqu'au moment où il nous offre d'aller prendre un café avec lui dans un resto. Étant prudents de nature et voulant continuer notre balade en couple, on répond poliment à Julio par un gentil "Non". En moins d'une seconde, Julio tourne les talons et nous quitte sans rien dire...  
Comment avons-nous interprété ce comportement ? MF est restée bouche bée, ne sachant que penser. Moi, j'ai immédiatement senti qu'on venait d'insulter Julio. Avait-il un agenda caché ? Voulait-il nous monter un bateau et nous soutirer de l'argent ou des informations personnelles ? On ne le saura jamais, mais on a vite compris que son comportement (initialement impeccable) cachait une (très probable) malhonnêteté...  
Comme d'autres expériences (parfois difficiles à comprendre sur le coup), on la met dans nos bagages et continue nos périples un peu plus avisés. ...  
Pour ce qui est de la sécurité d'un endroit (pays, province, région, ville, rue...), selon notre expérience, c'est très subjectif et très personnel. Je suis convaincu que plusieurs de nos parents et amis n'iraient jamais dans plusieurs endroits qu'on va. Mais, nous on ose. Et (à date), on n'a aucun incident majeur à rapporter.  
Ceci étant dit, je suggère d'oser parfois aller faire sa propre opinion et de ne pas toujours se fier sur les dires d'autrui. Par exemple, le gouvernement du Canada tient un site Web où on peut lire les infos les plus à date sur la sécurité de n'importe quel pays. Encore là, notre gouvernement est toujours très frileux en matière de sécurité et se protège en émettant des avis très "peureux". Il ne veut surtout pas prétendre qu'un pays est "très sécuritaire", s'il a le moindre doute que ce pays n'est que "sécuritaire".
Et 2e petit événement, à Antigua (ville très jolie... et hyper touristique) hier soir, je me suis fait taillader mon sac à main (genre de grand sac de tissu que je porte en sac à sos). On assistait à une procession religieuse et Luc a senti qq chose frotter contre lui. Comme il croyait que le sac dérangeait, il se l'est mis sur le ventre.
Ce matin, j'ai constaté une large entaille. Heureusement mon sac à un fond double, et l'entaille a été faite sur la poche (donc 4 épaisseur de tissu). Bien du travail pour le voleur. Il n'a pas eu le temps de prendre quoique ce soit.

Ça nous fait donc deux nouvelles expériences à notre c.v. de voyageurs.
Entre vous et moi, les voleurs et autres pick-pockets, et les assauts de toutes sortes, il y en a partout dans le monde... mais ça valide qu'il faut faire attention à ce qu'on a sur soi! Et qu'on garde les yeux ouverts! On montera d'un cran nos précautions.

On vous laisse, on part s'acheter des armes!
(ben non, c'est une blague vous savez bien ;)

MF

jeudi 20 mars 2014

Les ruines Maya de Copan, et le village

Un ramassis de mes préférées. Je peux dorénavant faire la pub du village ;)






Copan ruinas étant le nom du village

Copan Ruinas (le village)

Copan Ruinas (le village)
Bon ça va faire les ruines.
Allons finir de faire le tour du village et de ses habitants, plusieurs descendants des Mayas.

Hasta luego amigos

MF XX
P.S. On a quitté Copan ce jeudi matin. Vous nous trouverez dorenavant au Guatemala. Xx

Copan (ses ruines Maya)

Selon Wikipedia: Copán
est une ancienne ville maya qui a donné son nom à l'actuelle ville de Copán Ruinas, ainsi qu'à la capitale (Santa Rosa de Copán) du département de Copán, situé à l'extrémité ouest du Honduras. Son ancien nom semble avoir été Xukpi (prononcer «choukpi»), une combinaison des mots «xuk» (coin) et «pi» (paquet).
Cette ville, qui a connu son apogée au VIIe siècle ap. J.-C., a été abandonnée aux environs du Xe siècle. Elle a été inscrite sur la liste du patrimoine mondial culturel de l'Humanité de l'UNESCO en 1980.
Le site archéologique de Copán est situé en pleine jungle, dans la petite vallée d'un sous-affluent du fleuve Motagua, la rivière Copán, à une altitude de 600 mètres et à seulement 12km de la frontière guatémaltèque.
Carte du centre principal du site,
le centre gouvernemental et religieux des Mayas de l'époque.
Des ruines de maisons de l'élite se trouvent dans les environs,
et un peu plus loin dans la jungle, le peuple comme tel.
Il semblerait que ce soit un problème environnemental qui ait provoqué la chute de Copán. En effet, à cause de la déforestation - on estime qu'à la fin du VIIIe siècle, il n'y avait plus un seul arbre dans les 30 km à la ronde - liée à la densité croissante de la population, celle-ci fut obligée de cultiver les versants abrupts de la vallée et, à cause de l'érosion du sol, de défricher toujours plus. Cette spirale infernale de déboisement-érosion aurait entraîné un appauvrissement des terres et des inondations. La population aurait ainsi souffert de plus en plus du problème de la culture des terres : en examinant les restes de squelettes datant du VIIIe ou IXe siècle, les archéologues ont relevé des signes de malnutrition et constaté un accroissement de la mortalité infantile

Bien que la rivière Copán, le long de laquelle la cité fut construite, ait emporté une partie des bâtiments, le parc archéologique de Copán reste avec Chichén Itzá et Tikal l'un des plus intéressants sites mayas. Sa disposition est conforme à la pensée cosmologique maya: le monde est orienté selon les quatre points cardinaux avec un centre qui en constitue l'axe et la cité est un microcosme à l'image de ce macrocosme. À Copán, un centre cérémoniel, appelé Groupe principal et composé d'une Grande Place et d'une Acropole, représente l'axe du monde. Il est entouré de secteurs d'habitations situés aux quatre points cardinaux et reliés au centre par des chaussées appelées sacbe. 














Voici à quelque chose près ce qu'on y a vu. Beau grand site, plein d'infos et surtout de belles prises de vue. Mais surtout, ne me posez pas trop de questions... moi pis ma mémoire !

C'est tout pour aujourd'hui !
Ciao !
MF xx